
Fiche technique :
Auteur : Floriane SOULAS (France)
Editions : POCKET
Année : 2018
Pages : 429
ISBN : 978-2-255-30663-8
Genre : Science-fiction
Fiche technique :
Auteur : Floriane SOULAS (France)
Editions : POCKET
Année : 2018
Pages : 429
ISBN : 978-2-255-30663-8
Genre : Science-fiction
Fiche technique :
Auteur : Franck Herbert (USA)
Editions : Le Livre de Poche
Année : 1969
Pages : 219
ISBN : 978-2-253-04932-6
Genre : Science-fiction
Fiche technique :
Auteur : Denis Labbé (France)
Editions : Rebelle Editions
Pages : 293
Année : Octobre 2018
ISBN : 978-2-36538-716-3
Genre : Science fiction
« – Il va falloir combattre les vivants, prof.
– Je sais.
– Vous vous sentez prêt ?
– Il le faudra bien. »
(Page 28).
Fiche technique :
Auteur : Denis Labbé (France)
Editions : Rebelle Editions
Année : 2018
Pages : 245
ISBN : 978-2-36538-648-7
Genre : Science fiction
« Au moment où nous y avions pénétré, je nous croyais à l’abri. Or, il faut accepter que les marcheurs ne vous laissent jamais en sécurité nulle part et que même dans les endroits apparemment les plus sûrs, ils parviennent toujours une faille pour les atteindre. »
(Page 55).
Fiche technique:
Auteur: Renaud Crepel
Edition: Sarah Arcane
Année: 2019
Pages: 150
« Vous savez que je n’approuve pas ? Mais alors pas du tout ? »
La voix synthétique de Kilroy résonnait dans le casque de plexiglas de la combinaison d’Emmy Zénith. La jeune fille répondit par une vilaine grimace que le synthémate ne pouvait pas voir. Elle avait besoin de toute sa concentration pour accomplir la tâche qu’elle s’était fixée et les constantes récriminations de son majordome robotique n’allaient certainement pas l’aider. […] Bien que tout le monde l’appelait Emmy, son vrai prénom était Émeraude. Le jour de sa naissance, la vue des quelques mèches vertes qui affublaient déjà son crâne avaient poussé ses parents à la baptiser ainsi.
Fiche technique :
Auteur : Denis LABBE
Edition : Rebelle Editions
Année : 2017
Page : 228
ISBN : 978-2-36538-528-2
Genre : Science-fiction
« Cueillie par le projecteur, une horde de visages hâves, déformés et ensanglantés, se tournaient monstrueusement dans notre direction au milieu d’une marée de bras tentaculaires auxquels pendait ce qui ne pouvait être que des débris de treillis, de vêtements médicaux et de chair humaine. Pourtant, ce qui m’avait retourné, ce n’était pas cette vision cauchemardesque, mais le fait que j’étais capable de mettre un prénom sur ces traits émaciés. »
(Page 86).